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Burzum "Belus" 2010
Byelobog Productions

Burzum - Belus 2010

Français: Liste des morceaux

  1. L'intrigue de Leuke (Introduction)
  2. La mort de Belus
  3. Le fleuve de l'oubli
  4. La descente de Kaimadalthas
  5. La danse des épées
  6. Le cheval de Kelio
  7. Aube
  8. Le retour de Belus (Conclusion)


L'intrigue de Leuke (Introduction)

[Instrumental]

L'orage jette sa framée,
- La guivre est d'une pierre abattue,
Descend dans la foudre au verger;
Dans le chêne trouve un fétu.

La mort de Belus

Dans l'arbre se hisse le sorcier
Trouve l'antique douleur du monde,
La fait tomber en paix dans l'automne,
D'un ciseau son coeur il a coupé.

Les feuilles du chêne dégringolent,
Le sorcier, appelent les esprits!
Les fanes du chêne sur le sol,
Le magicien dit sa sorcellerie!

Loeken se couche dans du lin,
La quintessence du chêne sacrée.
La paix du monde assure le sorcier;
La fertilité, la puissance du soleil dans la main!

Les feuilles du chêne dégringolent,
Le sorcier, appelent les esprits!
Les fanes du chêne sur le sol,
Le magicien dit sa sorcellerie!

La force du soleil voici;
La mer fertile de la Terre;
Dans le puissant bâton du sorcier;
Dans la baguette hantée du roi.

Le fleuve de l'oubli

Sous la lune et le soleil tué
Le départ est pour la mer des ombres.
L'ours y regarde le brasier.
Le corps est posé dans une lourde tombe.

Derrière un voile j'ouïe la Terre pleurer;
De l'été disparaît la clarté,
L'âme du chêne dans un bateau posée,
L'hiver et l'automne ont gagnés.

J'y retournerai.
Encor je viendrai.
Quand l'hiver sera faible,
Encor je viendrai.

Sous la Terre, le monde caché,
Vers l'ouest, derrière les vapeurs,
Se finit l'exode embrasé,
Où festoient l'hiver, l'automne en coeur.

Il fait froid dans les profondeurs,
Ici n'existent que les ombres,
Ici vit la créature sombre,
Et les nébuleuses horreurs.

J'y retournerai.
Encor je viendrai.
Quand l'hiver sera faible,
Encor je viendrai.

Les morts se reposent dans leurs habits blancs
Derrière de lourdes et froides portes de pierre,
Mais si tu écoutes l'armée des morts
Tu entends parfois leurs chants.

Les morts se reposent dans leurs habits blancs
Derrière de lourdes et froides portes de pierre,
Mais si tu écoutes l'armée des morts
Tu entends parfois leur chants.

J'y retournerai.
Je reviendrai.
Quand les esprits de l'hiver sont faibles,
Je reviendrai.

La descente de Kaimadalthas

Le corps de l'être chêne; la baguette.
Le sorcier avec la clé et le masque,
Nu et blanc, dans la tombe,
Habillé de la cendre du monde.

Les murs longeant; des lances pointues.
Des côtes de mailles sur les bancs.
Il se faufille sans chahut,
Voit la cendre du brasier tombant.

Je pars vers les profondeurs obscures, là où tout est mort.

Dans l'empire du cairn funéraire,
Se tiennent les pâles morts muets.
Qui ne doivent dans la peur forfaire,
Mais pour le grand désert s'en aller.

De boucliers le toit est couvert,
Épées et couteaux, casques et ceintures;
Sur le sol de la salle de pierre
Le fantôme d'une femme, une créature!

Je pars vers les profondeurs obscures, là où tout est mort.

Dans l'arbre les contours du sorcier,
Pendent, sa tête est inclinée.
La vache pleure, on l'entend qui geint,
Les noeuds démèle le magicien.

Il reçoit les présents le sorcier
Que lui apportent les morts blancs,
Des tombes de pierre et âgées
Il sort le plus éblouissant.

Je voyage vers Kelio.
Je pars vers les profondeurs obscures, là où tout est mort.

Les sangles et côtes de maille, les vêtements et les gâteaux,
les armes célestes, les armets,
les runes, les vers, les baies séchées,
Ouverte l'entrée du tombeau!

Des elfes, qui fabriquent les armes,
Jusqu'aux morts réincarnés,
ceux qui les loups ont bravés
Dans le monde à présent désert.

Je voyage vers Kelio.
Je pars vers les profondeurs obscures, là où tout est mort.

La danse des épées

L'heure de l'hiver est arrivée,
Le loup et l'ours ont décédés;
Arrache cette peau, le masque,
Pietines-le, Dis à l'hiver; adieu!

Esprit de l'hiver, tu mourras!
Esprit de l'hiver, dans la neige saigneras!
Esprit de l'hiver, je suis l'été!
Esprit de l'hiver, et je viendrai!

Il y aura feu et fumée, pleurs et cris;
Dans la forêt court le sorcier.
Utilise l'épée, le fer, feuilles et suie.
Bientôt on verra le soleil briller.

Esprit de l'hiver, tu mourras!
Esprit de l'hiver, dans la neige saigneras!
Esprit de l'hiver, je suis l'été!
Esprit de l'hiver, et je viendrai!

Il y aura feu et fumée, pleurs et cris;
Dans la forêt court le sorcier.
Utilise l'épée, le fer, feuilles et suie.
Bientôt on verra le soleil briller.

Esprit de l'hiver, tu mourras!
Esprit de l'hiver, dans la neige saigneras!
Esprit de l'hiver, je suis l'été!
Esprit de l'hiver, et je viendrai!

Le cheval de Kelio

Lorsque la neige fond nous pleurons;
L'hiver a été vaincu.
L'esprit du chêne est libéré,
Les âmes de l'été ont festoyé.

Lorsque la neige fond nous pleurons;
L'hiver a été vaincu.
L'esprit du chêne est libéré,
Les âmes de l'été ont festoyé.

Il arrive des abymes un esprit,
D'en bas un cheval on voit marcher,
Pour les hommes préparer,
Toute notre Terre gémit.

Il arrive des abymes un esprit,
D'en bas un cheval on voit marcher,
Pour les hommes préparer,
Toute notre Terre gémit.

Aube

Du printemps le premier dimanche matin
Nous voyons à nouveau l'armée.
Le deuil est révolu enfin,
Il court le lièvre dans le pré.

Sur la plus haute montagne à l'est
Le soleil, le rouge, tu peux regarder.
Tu peux voir, et du réconfort profiter,
Du cairn observer la Terre accoucher..

Le soleil a retrouvé sa ferveur.
L'esprit du chêne est réincarné.
Le soleil a retrouvé son ardeur.
L'été est là.

Le retour de Belus (Conclusion)

[Instrumental]




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